Ne réveille pas l’ours qui dort d’Emelie Schepp

HARPER COLLINS ÉDITIONS

Dernier roman de la sélection pour le prix Harper Collins poche qu’il me restait à découvrir, je vous parle aujourd’hui de « Ne réveille pas l’ours qui dort » d’Emelie Schepp aux éditions Harper Collins.

Un homme est retrouvé sauvagement assassiné, chez lui, avec à l’intérieur de son corps un ours en peluche muni d’un dictaphone qui répète le nom d’une jeune femme qui s’avère être une ex-flic qui a bénéficié une identité protégée. Ce meurtre a-t-il un lien avec le fait qu’elle et la victime ont subitement quitté la police ? C’est la question à laquelle vont devoir répondre Jana, une procureure au caractère bien trempé ainsi que Mia et Henrik, un duo d’enquêteurs.

Il faut savoir que c’est la septième enquête qui réunit nos protagonistes et si pour la compréhension de l’enquête, cela ne m’a pas gêné puisque l’enquête est indépendante, je pense qu’il est quand même préférable de les lire dans l’ordre, car la vie personnelle des enquêteurs prend beaucoup de place. C’est d’ailleurs la partie que j’ai préférée dans ce roman.

J’ai été agréablement surprise puisque si souvent, je trouve le rythme des polars nordiques un peu lent, ici, je n’ai ressenti aucune longueur, bien au contraire.

Côté personnages, même si je les ai appréciés, je pense que j’aurais eu plus d’attachement pour eux si j’avais découvert les tomes précédents. Dans cette enquête, j’ai trouvé, en général, les personnages un peu trop froids pour que je puisse complètement y adhérer. Cela ne m’a pas empêché d’être intrigué par le passé de Jana.

Sans l’avoir trouvé exceptionnelle, j’ai tout de même apprécié l’enquête qui reste prenante et addictive du début à la fin.

En résumé, même si j’ai passé un bon moment, je pense qu’il aurait pu être encore meilleur si j’avais découvert cette série dans l’ordre.

Résumé

Un homme est retrouvé sauvagement assassiné dans la banlieue de Norrköping.  À l’intérieur de son corps mutilé, un ours en peluche. Ce mode opératoire retient l’attention des enquêteurs Henrik Levin et Mia Bolander, qui remontent jusqu’à une certaine Filippa Falk. Ancienne policière, elle semble être la seule à détenir les clés pour comprendre ce meurtre et, surtout, identifier le coupable. Mais souhaite-t-elle seulement aider la police ?
Quant à la procureure Jana Berzelius, elle cherche par tous les moyens possibles – usant de violence s’il le faut – à traquer le tueur. Mais l’ombre de son passé est de plus en plus menaçante, et les chances de protéger l’homme qu’elle aime de lui, de plus en plus ténues.

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