La cité des rêves de Don Winslow

ÉDITIONS HARPER COLLINS

Après avoir adoré “la cité en flammes », c’est avec plaisir que je me suis plongé dans « la cité des rêves » de Don Winslow aux éditions Harper Collins, qui est en lice pour le prix Harper Collins poche. Je ne ferai pas de cours résumé puisque ce tome est une suite directe du premier et qu’il me serait trop facile de vous spoiler sans le vouloir. D’ailleurs, il faut savoir qu’il est indispensable d’avoir lu le premier avant de plonger dans celui-là. Si j’ai adoré retrouver Danny et les autres, je dois avouer que rapidement, j’ai compris que ce tome ne serait pas une aussi grande réussite que le précédent. En grande partie, parce qu’il se passe en majorité dans le monde du cinéma et que le décor ne m’a pas plu outre mesure. Alors que les personnages étaient déjà nombreux, de nouveaux viennent se greffer à l’intrigue et cette fois, j’ai eu beaucoup plus de mal à réussir à les situer. J’ai tellement cherché à les reconnaître que je pense être parfois passé à côté de l’histoire. Malgré tout, mon attachement pour certains de nos protagonistes a quand même permis de garder mon attention éveillée, cela m’a évité de ressentir un sentiment d’ennui. Le dénouement promet une suite dans un nouveau décor, je pense donc qu’il pourrait davantage me convenir. En résumé, même si j’ai trouvé ce deuxième tome moins prenant que le précédent et qu’il m’a moins plu, j’ai tout de même passé un bon moment et je découvrirai sans aucun doute le dernier afin de connaître le fin mot de l’histoire ainsi que la destinée de nos personnages.

Résumé

La guerre des gangs sur la côte Est s’est transformée en massacre, et l’Irlandais Danny Ryan n’a d’autre choix que de fuir loin de Providence. Pègre, cartels, FBI, les ennemis ne manquent pas. Pour leur échapper, il tente sa chance en Californie avec son fils, son père vieillissant et quelques fidèles rescapés de sa bande. Il n’aspire qu’à une chose : mener enfin une vie paisible, en toute légalité. Mais les fédéraux le rattrapent et lui demandent une faveur inattendue, qui fera de lui un homme riche. Ou mort.

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